En Centrafrique, des gardes forestiers donnent une nouvelle chance à la faune sauvage

Face au braconnage de plus en plus intensif sur son territoire, les gardes forestiers centrafricains ont décidé de porter leur aider à la faune sauvage.
Depuis les années 1960, plus de 80 pour cent des espèces animales ont disparu dans le nord de la République centrafricaine.
Éléphants, girafes et félins sont tous victimes d’un braconnage intensif, facilité par des frontières poreuses avec le Tchad et le Soudan et d’innombrables infiltrations de groupes rebelles.
Dans cette zone incontrôlable, une ONG américaine a signé un partenariat de 25 ans avec le gouvernement pour protéger la zone des catastrophes environnementales ; un défi que ses 150 hommes sous-armés peinent à relever.
Mais en une décennie, des gardes forestiers gardes ont tout de même réussi à reprendre et contrôler un quart de l’aire protégée, et certains animaux reviennent progressivement.
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