La République du Congo accueillera le tout premier Sommet international de l’énergie à Brazzaville

Se déroulant les 15, 16 et 17 juin, Le sommet international de l’Énergie du Congo 2022 représenteront le premier événement énergétique international du genre organisé au Congo-Brazzaville.

Le troisième plus grand producteur énergétique d’Afrique subsaharienne cherche à réaffirmer la place de ses industries pétrolières, gazières et électriques par l’afflux d’investissements étrangers.

Alors que les investisseurs mondiaux se tournent vers les investissements dans les énergies vertes, le continent africain entreprend une campagne ambitieuse pour exploiter et monétiser ses vastes réserves de gaz naturel.

Le sommet présentera aux investisseurs le paysage de la transition énergétique de l’un des marchés les plus matures d’Afrique.

L’événement présentera des opportunités de partenariat et d’investissement dans l’exploration des hydrocarbures, la monétisation du gaz, l’énergie verte et les industries.

La République du Congo sera présentée en tant qu’hôte de l’événement comme destination clé d’investissement énergétique dans les secteurs du pétrole, du gaz et de l’électricité.

Représentant le troisième plus grand producteur de pétrole d’Afrique – avec des réserves estimées à 2,9 milliards de barils et une production de 336 000 barils par jour, le pays bénéficie de la participation active de certaines des plus grandes sociétés pétrolières et gazières du monde.

Le gouvernement congolais a mis en œuvre plusieurs réformes clés visant à attirer les investissements en amont et à consolider son statut de troisième producteur de pétrole d’Afrique subsaharienne.

En plus de l’exploration en amont, le continent africain entreprend une campagne ambitieuse pour monétiser ses vastes ressources en gaz naturel, en répondant à l’approvisionnement national en gaz pour alimenter les objectifs d’électrification de l’Afrique tout en répondant aux demandes mondiales de décarbonisation.

La récente décision de l’UE d’étiqueter les projets de gaz naturel comme «verts» marque un tournant décisif pour le développement du gaz africain, les pays riches en gaz comme la République du Congo étant mieux placés pour attirer le financement de projets tout en favorisant un dialogue vert africain.